Une journée comme tant d'autres ...

Nous avancions vers Namakura. J'avais pour missions de faire signer un pacte de non agression et un échange commercial important. Quarante hommes en plus que d'habitude étaient là, pour que, ce roi un peu bourru disaient-ton, ne nous attaque pas en arrivant. Même si quarante hommes ne ferait pas grand chose, c'est toujours ça. D'après Jesson, il fallait mieux arriver par la côte ouest; cette partie de l'île était pratiquement désertique. C'est en accostant que l'ivrogne que j'avais passé par dessus bord réapparu. Il se présenta alors :
Zaïmir : Lieutenant Zaïmir Piorit. J'ai été abandonné par mon capitaine sur mon île natale.
Il apparaissait bien dans la liste des marins disparus, tout comme Revaliu. Un peu forcé par les circonstances, je dus accepter pour qu'il nous accompagne. Une fois à bord tout le monde descendu, nous avançâmes en direction du palais du roi. Contrairement au reste de l'île, pauvre, le palais était orné de statues, on voyait au loin, le jardin luxuriant. Une fois arrivé aux portes du château, des gardes nous barraient la route.

Finalement, nous arrivâmes sur Namakura. Une ile célèbre pour son roi, réputé pour être cruel, injuste et adorer l'argent plus que tout autre au monde. Bref, j'avais compris qu'on était pas là pour une partie de belote et qu'il risquait d'il y avoir de la rixe. Lorsque l'équipage sortit du bateau, je me présentai à eux et ils acceptèrent que je me joigne à eux avec joie. Lorsque nous arrivâmes devant l'énorme porte du palais, deux gardes armés de lances tranchantes comme... Une éponge ? En effet, les lames avaient l'air complètement émoussées.
Ne comprenant pas pourquoi tout le monde s'arrêtait devant eux alors que je pensais que l'on était venu en ennemis, je pris les deux gardes, chacun ans une main et les envoyai au deux mètres plus loin. Ne comprenant pas les regards ébahis des autres membres de la marine et pensant avoir fait quelque chose de mal, je cassai la porte en espérant me faire pardonner. Mais ce ne fut pas exactement l'effet produit...

L'espèce d'empôté de Zaïmir avait démoli les deux gardes et défonçait la porte. Une trentaine d'hommes armés pointèrent leur armes vers nous. Je fis signe à mes hommes de ne par riposté. Puis d'un coup, me transformant en mi-homme mi-tigre, je fit voler Zaïmir plus loin. Je réussi à m'arranger avec les gardes en leur promettant de remboursé les dégâts, et en leur faisant comprendre que la personne là-bas était juste une connaissance un peu spécial, qui était venu ici contre ma volontée.

Une fois la porte démolie, une troupe de garde sortit du palais. Surement pour me protéger, le capitaine m'envoya loin pour ne pas que les ennemis ne m'attaquent. Qu'il est gentil le capitaine! Mais moi, je veux aider la marine dans sa noble mission et pour ce, je dois combattre. Après cette réflexion, je repartis en direction du palais lorsque je vis un vilain bonhomme tout de noir vêtu en sortir. Je l'avais reconnu, c'était lui le plus grand chanteur de jazz de tous les temps: Brock Oli. Waouh! Étant un fan intemporel de ce dernier, j'accourais vers lui, près à lui faire tout les compliments qui je connaissaient (qui se limitaient en vérité à: "Tes cheveux sont pas trop gras...") et à lui donner de mon herbe à pipe favorite. Lorsque j'arrivai devant lui, en espérant lui faire plaisir, je lui chantai ma chanson préférée parmi toutes celles qu'il avait chanté dans sa vie. Cette chanson n'était autre que la célèbre "Brûlez Marleil !", écrite en opposition à ce dictateur de Squelgone, roi de Namakura.

HS: Peut être que si les armes de tes gardes sont émoussées c'est parce que c'est à eux de gérer leurs armes comme ils le sentent et que l'affutage d'une lame est trop cher pour être financé par le maigre salaire que tu leur donne?

Le grand Squelgone arriva, noble et digne. Il me demanda alors quelques explications, quand tout à coup, l'autre ****** de première se mis à chanter, ce qui mis Squelgone encore plus en colère.
-Squelgone :Petite merde! T'es qui pour oser venir me chanter sur la destruction de ma capitale? J’espère que tu ne m'a pas pris sur cette infâme petite merde de Brock! Proposer surement ton trafique d'herbe, la marine est tombée bien bas, j’espère que tu n'est pas pareil Horan ....
-Horan : Colonel Firt, je vous pris. Alors, la personne que vous voyez là, c'est accroché à la coque de notre bateau, à notre insu. Il se trouve qu'il appartient à la marine, j'ai du accepter pour qu'il nous accompagne. Bien sur je ne partage pas du tout les mêmes idées que cet être. Je tiens à m'excuser, et je rembourserai les dégâts. Sinon, nous sommes là pour traiter d'affaire sérieuse, je ne vends pas ce genre de chose.
Tout à coup, Jesson apparut. Il avait réussi à contacté le vice-amiral Sad, l'ancien supérieur de Zaïmir. D'après Jesson, il avait fondu en larme en apprenant que Zaïmir se portait bien et pourrai rejoindre leur équipage.
Squelgone, nous fis avancer. Zaïmir aller recommencer, quand Marc l'assomma du plat de sa hache pour qu'il reste dehors. Puis, Salvar, arriva en courant. Je lui avait pourtant fait comprendre de rester à bord du navire... Quand les gardes le vire approcher, ils devinrent blanc comme la neige. Enfin le Roi Squelgone nous conduisit à un grand bureau spacieux. J'entrai alors avec Jesson; et Salvar qui ne voulait pas partir, les autres attendaient dehors.

-Squelgone :Petite merde! T'es qui pour oser venir me chanter sur la destruction de ma capitale? J’espère que tu ne m'a pas pris sur cette infame petite merde de Brock! Proposer surement ton trafique d'herbe, la marine est tombée bien bas, j’espère que tu n'est pas pareil Horan ....
Non, ce n'est pas possible,... Ce n'est donc pas Brock...
Horriblement déçu, mais surtout encore plus énervé contre ce tyran, je décidai qu'il ne pouvait rester plus longtemps au pouvoir, je partis en direction de la partie pauvre de l'ile, en direction du club des adorateurs de caleçons à paillettes auquel j'appartenais. Une fois là bas, je découvris que la plupart des gens dans l'ile étaient d'accord avec moi, cela ne pouvait plus durer! Que l'uniforme des armées de l'ile soit horrible, cela passe encore. Mais que Squelgone tyrannise les habitants, ça pas question!
Suivi par tous les membres du club des adorateurs de caleçons à paillettes (nous n'étions en vérité que trois), je me dirigeais vers la grande mine de fer où les ouvriers vivent dans des conditions misérables. De tels gens seraient surement d'accord pour renverser le pouvoir et instauré un système basé sur le communisme libertaire et la paix ainsi que l'entendais le célèbre philosophe Hutra Kiopat né en l'an 485 à Pfera...
Enfin bref, une société meilleure.

-Squelgone : Colonel Horan, Je n'ai pas que ça à faire donc dites moi tout de suite ce que vous voulez.
Je lui explique alors rapidement que le gouvernement proposé un pacte de non agression, pour la somme symbolique de 1 Berry. J'ignorais moi même la raison de ce pacte, car la marine n'avait pas besoin de se soucier de ça.... Il y avait aussi un traité commercial pour une importante commande de fer; il y avait une pénuries de fer en ce moment, et la marine était prête à pailler le prix fort.

Finalement, même si la quasi-totalité des ouvriers soutenait cette grève, il n'y en eu que cinq cents pour me suivre. Alors que nous discutions de la stratégie à adopter, l'un deux proposa de demander l'aide du comité révolutionnaire. Pour ce faire, ils partiraient sur un bateau en direction d'une de leurs bases. Le problème était désormais de trouver un bateau... Un bateau, un bateau,... Mais oui, le bateau du colonel Firt ! Il n'y aura qu'à faire croire à un vol et e tour est joué ! Alors que les membres de son équipage (ou du moins la plupart) partait manger, il n'y eu plus que trois hommes pour garder le bateau. Ne voulant pas me faire remarquer, il fut décidé que je ne participerais pas à l'assaut et irai manger avec les autres soldats. Il fut également décidé que je ne partirai pas avec eux.
Lorsque je rejoins tout le monde à table, tout le monde se tût mais voyant que je ne faisait que manger des feuilles de salade, ils se désintéressèrent de moi. Tout au bout de la table se trouvaient Squelgone et le colonel Firt qui négociaient. Je n’eus d'échos du "vol" du bateau que le lendemain matin. Visiblement, il y avait tout de même eu près de cent morts parmi les "voleurs" et le bateau aurait ensuite été vu au port de Falorau (ville à laquelle est rattachée la mine de fer). D'après les dires, près de six cent personnes seraient montés à l'intérieur puis le bateau serait parti en direction de l'est.

-Horan Firt : Pour ce prix la, les négociations sont closes.
Bon je vais rejoindre Zaïmir ! Je vous pris de m'escuser.
Ce débile avait commandité le vol de mon navire !! J'envoyai donc les 40 soldats supplémentaire avec Vivi et Marc, divisaient en deux groupe, chercher le navire. Un sur terre un par la mer. Le reste venait avec moi. Comment se minable avait put faire ça à moi le Colonel Firt ! Il avait suffit de traîner l'oreille dans un bar pour savoir ce qui s'était passé. J'enfilai mon manteau de capitaine puis parti en courant vers les mines de fer ou il se promenait.
Une fois en vu, Jesson lui planta un couteau dans le dos. En me transformant je le fit valser dans les airs ou il reçu encore quelques couteaux. Il était un bandit, pas quelqu'un de la marine !
-Horan Firt : Par les pouvoirs qui me sont conférés je vous enlève le grade de Lieutenant et je vous arrête.
Il s'apprêtait à parler quand je l'assomma de nouveau puis redonna les couteaux à Jesson. Quelques minutes plus tard, j'appris, par Vivi, que le Titans mouillé dans un port à l'est, et les voleurs avaient établis un camp « fortifié » à l'écart de la ville.

Le colonel Firt était bien plus malin que ce que je pensais: il a, je ne sais comment, réussi à savoir que j'avais commandité le vol du bateau. Mine de rien, ce drôle de bonhomme était très malin! Il me battit donc puis m'expulsa de la marine et enfin, voulu m'enfermer je ne sais où. La suite des évènement reste très brouillée.

[HRP]: Comment veux-tu que je réponde si tu ne dis pas ce que tu fais de moi?

Je venais d'être appelé pour une autre mission à NorthBlue. Je n'avais pas le temps de m'occuper de la rébellion. Je faisait confiance à l'armée du Roi pour s'en occuper. J'avais appelé un escadron de la escortés à cette mission pour les ramener à la base . En attendant qu'ils arrivent j'écrivais le rapport de Zaïmir : destruction d'objets appartenant à la marine, massacre de deux gardes de Namakura, vol de navire appartenant à la marine plus massacre des gardes, insultes à personne haut placée.
Avec ça, il allait droit en prison. Vers la fin de l'après-midi, Zaïmir partit avec l'escadron je ne sais où. C'était temps pour nous aussi de partir.