L'enfer sur terre

Après avoir embarqué sur la navire du contre amiral, celui-ci nous emmena sur cette ile. Enfin, cet archipel où les cris de douleur et les coups de fouets semblaient être monnaie courante. Il nous laissa entre les mains du chef de chantier qui nous attacha de suite les mains avec des menottes en granit marin et nous emmena à une carrière de pierre où travaillaient des centaines d'esclaves qui pour la plupart avaient l'air plus mort que vifs. Notre travail n'était pas bien compliqué mais il était épuisant. Tout une journée à casser la pierre tout en subissant des coups de fouets toutes les dix minutes, je ne connais rien de pire. Contre-amiral Vegapunk, si je t'attrape... Le soir venu, il pleuvait et il faisait froid. Lorsque je me réjouissais de pouvoir rentrer et dormir, je fut très déçu. Le maitre du chantier nous donna un tente que l'on devait partager avec dix autres personnes. Le lendemain déjà je songeais à mettre fin à mes jours. A attaquer le maitre du chantier pour me faire exécuter ensuite ou bien me jeter à l'eau. N'ayant que cette idée en tête, dès que nos "maîtres" vinrent nous réveiller, je les rouas de coups jusqu'à leur en faire cracher du sang. Je fus bien vite rejoint par mes collègues et bientôt, c'était deux cadavres qui s'étendait à nos pieds. Tulun prit alors le trousseau de clé qui était à la ceinture du maître de chantier et nous libéra tous de nos menottes. Nous étions donc une dizaine à sortir de notre tente lorsqu'un énorme bateau accosta et qu'une centaine d'hommes armés jusqu'au dents en sortirent. Visiblement, ils avaient le même but que nous: libérer tous les esclaves. Lorsqu'ils se mirent à chanter l'hymne de la révolution ensemble, nous comprîmes que les révolutionnaires avaient décidé de venir nous libérer. Tous se jetèrent à l'assaut des maitres de chantier sauf moi qui restais bien caché dans la tente, à l'abri du danger. Lorsqu'il n'y eu plus de bruit, je sortis et constatant que l'armée révolutionnaire avait pris le dessus, je me dirigea vers Tulun et Bjorn qui discutaient avec deux hommes.
Tiens, Chiam. Il y deux bateau de 'armée révolutionnaire. L'un va vers Albasta et l'autre à Fuchsia Town. Si nous prenons celui pour Albasta, cet homme nous propose de faire route avec lui sur son bateau jusqu'à ce que nous en trouvions un neuf.
Très bien. Embarquons.

Lorsque le bateau accosta, tous les membres de l'armée voulaient sortir. Tout le monde se bousculait sortait ses armes et criait. Lorsque Revaliu put enfin sortir, le reste de l'armée avait accompli une bonne partie de la tâche. Voulant combattre lui aussi, il se jeta dans la mêlée donnant des coups de griffe à tort et à travers. Blessant alliés et ennemis. Quand la bataille fut enfin finie, son premier reflèxe fut de s'allonger à terre pour soulager ne serais-ce qu'un peu ses muscles endoloris. Lorsque la douleur dans son dos redevint supportbale, il alla s'assoir auprès de deux prisonniers enfin, anciens prisonniers et entama la discussion.
Bonjour, je suis Revaliu, membre de l'armée révolutionnaire. Vous vous êtes des pirates qui ont été condamnés à casser des pierres c'est ça?
Oui, c'est ça. Merci de nous avoir libérés, mais... Avez-vous prévu quelque chose pour le retour?
C'est à ce moment là que Svaboda les rejoignit et ayant entendu la question, répondit.
Un autre bateau vient d'arriver. Des deux bateaux, l'un va partir pour Fuchsia Town et l'autre pour Albasta.
Lequel allez vous prendre?
Eh bien, disons que pour nous cela ne change pas grand chose. Nous n'avons plus de bateau et ceux qui bordaient l'île ont été pris par d'autres prisonniers et ont déjà levé les voiles.
Dans ce cas là, venez avec nous vers Alabasta et vous frez parti de mon équipage tant que vous n'aurez pas trouvé de bateau ça vous va?
Il faudrait d'abbord demander son avis à notre capitaine... Tiens le voilà qui arrive justement.
Tiens, Chiam. Il y deux bateau de 'armée révolutionnaire. L'un va vers Albasta et l'autre à Fuchsia Town. Si nous prenons celui pour Albasta, cet homme nous propose de faire route avec lui sur son bateau jusqu'à ce que nous en trouvions un neuf.
Très bien. Embarquons.
Tous montèrent donc dans le bateau pour Alabasta qui étrangement était moins peuplé qu'à l'aller.C'est sûrement dû au nombre de morts durant la bataille.