L'île de la découverte

Après des jours et des jours de traversée où je n'étais presque resté que dans la cabine de navigation à lire les carnets de bord de l'amiral Trewloney, nous accostâmes sur une ile qui correspondait à celle décrite dans "Les trésors de North Blue" Cette ile n'était visiblement pas habitée. Où alors par des êtres primitifs, car après deux tours complets de l'île, nous ne trouvâmes aucun port pour accoster. Nous dûmes donc sauter dans l'eau pour arriver jusqu'à la plage.
Tulun: Je ne pense pas que cela soit une très bonne idée de sauter à la mer. Nous sommes deux à posséder les pouvoirs d'un fruit du démon. L'eau de mer ne nous fera certainement pas du bien.
Je sais cela. Si tu as une autre solution n'hésite pas, mais pour l'instant je n'en ai pas trouvé d'autres.
Je fixai la moue pensive de Tulun puis sauta, espérant que Bjorn serait assez malin pour me ramener jusqu'à la plage. J'aurais bien pu le prévenir mais il était en train de nager et , le oreilles pleines d'eau, il ne m'aurais pas entendu. Alors que je m'apprêtais à toucher l'eau, je sentis une multitude de minuscules fils me retenir. En baissant mon regard vers mon abdomen où les fils était attachés, je remarquai leur couleur rousse. La voix de Tulun m'interrompit dans mon observation.
Tu vois? J'en avais une autre idée!
Il me fit alors tourner en l'air puis au bout de quelques tours, les cheveux de Tulun cessèrent alors leur étreinte et je fus projeté la tête dans le sable. L'atterrissage n'était pas de toute douceur mais il m'avait évité d'être en contact avec l'eau de la mer. Alors que je finissait de m'essuyer le sable que j'avais reçu dans les yeux, je remarquai près de moi la présence de Bjorn. Il tenait les cheveux de Tulun entre ses mains. Avant que je ne puisse me poser plus de questions, il lança les cheveux vers la jungle avec force. Tulun atterrit donc au milieu des palmiers. Alors qu'il revenait vers nous, un énorme tigre le suivait. Surement agacé par toute cette agitation. Tulun ne put le voir que lorsque, arrivé à notre niveau il se retourna. Le tigre s'arrêta alors net. Il n'avançait plus mais il était prêt à bondir. Au moindre geste, il pouvait décapiter quelqu'un. J'aurais bien pu utiliser mes pouvoirs mais la proximité de la mer et les vagues qui ruisselaient sous mes pieds affaiblissaient mon pouvoir. Si je l'avais utilisé, j'aurais surement perdu connaissance. Rien de pire lorsqu'un gros félin d'au moins un quintal et demi s'apprête à bondir sur vous.

Alors que je dormais paisiblement au sommet d'un arbre, l'attaque d'un énorme oiseau qui voulait visiblement faire son nid ici me réveilla. Pense: Quelle saloperie ce piaf! Devant la menace de ses serres acérées, je me résolu à descendre de l'arbre. Pour la sieste, c'est foutu! Pour compenser ma sieste perdue, je me décidai à aller pêcher. Sur ma petite plage, les poissons grouillaient et les bêtes ne s'y aventuraient que rarement. Quelques varans de temps à autres au grand maximum. Moi qui avait l'habitude de voir cette plage déserte, je fus très surpris quand j'y vis trois hommes confrontés à un énorme tigre. Wouah! Des humains, génial! Je sortis donc mon boomerang de ma ceinture et le lança en plein sur la tête du tigre. Ça ne l'assomma pas. Il se tourna vers moi puis après avoir poussé un grognement étrange... Fut pris à la gorge par deux bras puissants qui lui coupèrent sa respiration jusqu'à ce qu'il meurt.
Bonjour, j'ai été abandonné sur cette ile il y a longtemps. Je me nomme Ilian et suis originaire de Luvneel. Et vous, pourquoi êtes vous sur cette île déserte et cartographiée dans aucun livre?
J'analysais la composition de l'équipe. Celui qui avait étranglé le tigre et qui était maintenant en train de lui couper la queue était un véritable colosse! Il devait mesurer au moins la moitié d'un palmier et être aussi large d'épaule qu'un grizzly. Le second qui s'avançait vers moi n'était, contrairement au premier, pas très grand. Il était même minuscule. La taille d'un enfant tout au plus. De longs cheveux bruns lui descendaient jusqu'aux épaules et ses yeux bleu azur me fixaient d'un air méfiant. Le dernier était resté en arrière avait des cheveux roux qu'il portait très courts. Presque rasés. Et portait à sa ceinture tout plein de poignard et d'autres accessoires utilisés généralement par les voleurs. Une idée me traversa alors l'esprit. Et si c'était les voyous qui m'avait déposé ici qui étaient venus m'éliminer? Je n'avais jamais vu leurs têtes mais ils se pouvait très bien qu'ils aient recrutés de nouveaux membres. J'empoignai alors son boomerang, prêt à le lancer en cas de besoin.

Alors que tout semblait perdu, un homme arriva sur la plage. En premier lieu, visiblement étonné de notre présence, il décida finalement de nous aider et lança son boomerang qui percuta de plein fouet la tête du tigre. Cela ne lui fit pas grand mal. Il avait détourné son attention de nous mais était désormais plus menaçant envers notre sauveteur. Lorsque le tigre se tourna vers l'homme au boomerang, Bjorn avait pris le félin au cou et l'avait étranglé. L'homme qui nous faisait face, après avoir poussé un soupir de soulagement, entama la discussion.
Bonjour, j'ai été abandonné sur cette ile il y a longtemps. Je me nomme Ilian et suis originaire de Luvneel. Et vous, pourquoi êtes vous sur cette île déserte et cartographiée dans aucun livre?
Je l'ai longuement détaillé, essayé de voir si il était un gars bien ou pas. aux bouts d'une trentaine de secondes, mon avis été fait et je décidai donc de lui répondre.
Bonjour. Je suis Chiam et voici Bjorn et Tulun, les membres de mon équipage. Nous sommes des pirates.
Bjorn ne trouva alors rien de mieux à faire que d'intervenir lui aussi.
Et quand c'est moi qui voulait montrer qu'on est des pirates en voulant piller le docteur tu m'as engueulé. Il faudrait savoir ce que tu veux. Il faut le dire qu'on est des pirates ou pas?
Je continuai alors mon dialecte sans se préoccuper de l'intervention de ce gros tas de muscles sans cervelle.
Et pour répondre à ta deuxième question, cette ile est recensée dans un livre qui dit qu'il y a ici un fabuleux trésor. Est-ce que tu saurais quelque chose à ce sujet?

Bonjour. Je suis Chiam et voici Bjorn et Tulun, les membres de mon équipage. Nous sommes des pirates.
Ces hommes étaient donc des pirates. Dès que je fus en possession de cette information, ma main se resserra sur mon boomerang. Au moindre geste agressif de leur part, j'aurais été prêt à le leur balancer sur la gueule. Le dénommé Bjorn interrompit le pirate dans son discours. Ses paroles décrochèrent un sourire au troisième homme mais celui qui parlait continua sans se préoccuper de lui.
Et pour répondre à ta deuxième question, cette ile est recensée dans un livre qui dit qu'il y a ici un fabuleux trésor. Est-ce que tu saurais quelque chose à ce sujet?
Non, désolé. Je n'ai jamais rien vu ni entendu sur ce fameux butin.
En apprenant que je n'étais pas le but de leur expédition, je me détendis. Il venaient ici pour dénicher un trésor qui n'existe surment que dans de vieilles légendes rurales où dans leur imagination débordante. Cependant, si trésor il y avait, c'était toujours intéressant.

Non, désolé. Je n'ai jamais rien vu ni entendu sur ce fameux butin.
Très bien. Tu ne nous sera donc d'aucune aide. Je te remercie de nous avoir sauvé la vie et c'est pour cela que je ne te tue pas. Nous allons partir à la recherche du trésor. Si tu nous suis, je te tue.
Nous nous aventurâmes alors dans la jungle. Vérifiant que ce "Ilian" ne nous suive pas. Au bout de quelques minutes où je ne remarquai rien, j'arrêtai de jeter trop regards en arrière. Au milieu de toute cette flore et de toute cette faune, mieux vaut rester sur ses gardes. Après quelques heures de marche, nous rencontrâmes un endroit qui ressemblait vaguement à celui décrit dans le livre. Par doute, je l'ouvrai et commençai à lire le passage parlant de la cachette du trésor. Nous suivîmes Ernesto jusqu'à une grande cité de pierre qui paraissait inhabité. Nous rentrâmes en son intérieur puis, comme s'il connaissait le chemin, Ernesto se dirigea d'un pas rapide vers un salle où trônait une grande statue. Elle représentait un vieil homme assez grand. Ses cheveux frisés étaient coupés au carrés mais semblaient n'avoir jamais été coiffés. Il avait également une barbe qui descendait jusqu'à son torse. Sur le socle en dessous des ses pieds, une inscription: Karl. Aussitôt, Ernesto se mit aux pieds de la statue et se mit à murmurer des mots dans un langage que je ne connaissait pas. Cela donnait à peu près: Besar master, membimbing kita kepada masyarakat. A ses mots, le vieil homme s'inclina et le socle s'ouvrit, laissant ainsi un passage qui semblait mener vers une pièce plus éclairée. Ernesto passa le premier puis, une fois de l'autre côté, nous fit signe de le suivre. C'est ce que nous fîmes. Le tunnel débouchait dans une pièce éclairée par un étrange objet lumineux au dessus de nos têtes. Après que tout le monde soit arrivé, notre chef bien aimé nous conduisit jusqu'à une mare de boue où il nous ordonna d'enterrer le trésor... J'arrêtai là ma lecture. Nous allions suivre le même chemin que ce "Ernesto" et trouver ce foutu trésor. Lorsque nous entrâmes dans le bâtiment, Bjorn laissa pousser un cri d'effroi qui étonna Tulun autant que moi. Son cri fut suivi de nombreux coups de lance qu'il asséna sur le sol sans que personne ne comprenne pourquoi. Une fois sa crise terminée, il se mit à pleurer tout en expliquant la raison de sa peur.
Là! Il y avait un gros lézard! Il était énorme et il me regardait avec ses gros yeux. Il avait un regard de tueur. Je vous l'assure il était effrayant.
Tulun et moi nous mîmes alors à rire aux éclats pendant que Bjorn, toujours effrayé par le gecko se préparait à l'embrocher d'un coup de lance au cas où celui-ci réapparaitrait. Après une dizaine de minutes à rire comme des baleines, nous décidâmes que, vu l'heure, il serait plus raisonnable de monter un campement pour la nuit et de remettre la découverte du trésor à demain. Nous pensions que cela ne changerais rien.

Quand le bateau accosta enfin, le gecko partit se cacher dans le sac de Chiam, histoire de ne pas se faire remarqué mais d'être transporté jusqu'au trésor. Ses "hôtes firent visiblement connaissance avec une personne dont il était impossible de déterminer le sexe à cause de sa voix cristalline. Revaliu ne s'intéressa ensuite plus aux paroles qu'il entendit, jusqu'au moment où Chiam lut un passage de son livre qui semblait indiquer que le trésor se trouvait ici. Il se laissa alors tomber de sac et marcha à leurs côtés jusqu'à une salle où il faillit se faire embrocher par le gros tas de muscle qui avait peur de lui. Pendant que les pirates passeraient leur nuit ici. Revaliu avait prévu de prendre le trésor et de repartir avec leur bateau... Il reprit donc sa forme humaine et s'avança jusuq'à la statue. A son pied il prononça les mots, faisant ainsi s'ouvrir la trappe. Se souvenant encore parfaitement du récit de Chiam, il se dirigea jusqu'à la grosse flaque de boue au fond de la pièce, il creusa et en sortit une énorme malle. Lorsqu'il voulut sortir de la salle, il constata que la porte s'était refermée. Il essaya donc de prononcer encore une fois les mêmes paroles mais cela ne fit rien. C'est aussi à ce moment qu'il remarqua des squelettes dans tous les coins de la pièce. Pense:En gros,je suis condamné à rester ici jusqu'à l'éternité... Mais non! Il y a les pirates! Dès qu'ils arriveront, je me barrerais avec le trésor en les laissant ici....

Malgré les menaces de ce pirate, j'avais envie de découvrir ce trésor. Je suivis alors discrètement la bande jusqu'à ce qu'elle arrive à la cité en pierre. Je n'avais essayé qu'une fois de m'en approcher et je m'étais fait attaquer par un énorme troupeau de varan. Je n'y ai alors plus remis les pieds. Cependant, sachant qu'il s'y cachait peut-être un trésor, je m'y serais rendu plus volontiers. Lorsque je les vis entrer dans cette cité, je ne voulais pas prendre le trésor à leur place mais plutôt rentrer dans leur équipage pour pouvoir le partager avec eux. J'avais toujours adorés les pirates que je considérais comme des aventuriers parcourant les mers pour découvrir de nouveaux territoires, des trésors cachés... Comment vais-je pouvoir les persuader que je vaut le coup? Embrocher un orang-outang avec des barracudas? Arracher des peaux de tigres avec les dents? Non, je n'y arriverais pas. Il faudrait plutôt que je leur sauve la vie une seconde fois mais où et dans quelles circonstances? Mais oui! Faire venir un troupeau de varan dans leur direction. Ces bêtes là ne sont pas dur à effrayer lorsqu'on a l'habitude. A partir de ce moment là, je m'arrangeai pour qu'un troupeau de varan vienne près de la cité de pierre et j'attendais que les pirates sortent pour précipiter les varans sur eux et leur sauver la vie.

Nous étions en route pour Dili. Le livre que l'on m'avais donner s'appelait Les trésors de la grande guerre. Pendant le temps que nous atténuions l'île, je feuilleté le livre. Toutes le étapes étaient écrites. Je lu un passage :


Nous suivîmes Ernesto jusqu'à une grande cité de pierre qui paraissait inhabité. Nous rentrâmes en son intérieur puis, comme s'il connaissait le chemin, Ernesto se dirigea d'un pas rapide vers un salle où trônait une grande statue. Elle représentait un vieil homme assez grand. Ses cheveux frisés étaient coupés au carrés mais semblaient n'avoir jamais été coiffés. Il avait également une barbe qui descendait jusqu'à son torse. Sur le socle en dessous des ses pieds, une inscription: Karl. Aussitôt, Ernesto se mit aux pieds de la statue et se mit à murmurer des mots dans un langage que je ne connaissait pas. Cela donnait à peu près: Besar master, membimbing kita kepada masyarakat. A ses mots, le vieil homme s'inclina et le socle s'ouvrit, laissant ainsi un passage qui semblait mener vers une pièce plus éclairée. Ernesto passa le premier puis, une fois de l'autre côté, nous fit signe de le suivre. C'est ce que nous fîmes. Le tunnel débouchait dans une pièce éclairée par un étrange objet lumineux au dessus de nos têtes. Après que tout le monde soit arrivé, notre chef bien aimé nous conduisit jusqu'à une mare de boue où il nous ordonna d'enterrer le trésor... d'après les secrets de North Blue.




Ceci était donc un recueil de témoignages. Mon ordre de mission était simple. Des espions avaient vu des pirates, et ils ne devaient en aucun cas trouver la trappe qui les conduirai aux trésors. L'or pouvait disparaître, mais pas le trésor. Heureusement que l'existance de cette trappe n'était pas connu ni comment l'ouvrir. Quelques heures plus tard nous arrivâmes devant cette fameuse île. C'était une île inhabitée. Le plus dur a été d'accoster. Nous avons dû utiliser les canots de sauvetage pour atteindre l'île. Je partis en reconnaissance avec Salvar. La jungle était un peu mon domaine. J'arrivais sans peine a passer dans cette jungle impénétrable. Je fis signe d'avancer aux autre. Puis je penser à l'énigme du trésor : « je tourne sur moi même, je me fais lancer, ou on se sert de moi comme outil de travail. » Pourquoi mettre un énigme dans ce livre. Surtout que moi et leurs énigmes,... Puis j'entendis quelques murmures au loin. Je fis signe aux autres de s'arrêter.

Le lendemain, alors que ni Tulun ni Bjorn n'était éveillé, je pris le livre et me lut le passage qui suivait.
Alors que nous venions de cacher le coffre, nous constations qu'il n'y avait plus aucun moyen de sortir. Malgré tout nos efforts pour casser la plaque qui bouchait le passage par lequel nous étions entré nous n'y arrivions pas. Ernesto essaya de prononcer les mêmes paroles que pour entrer mais rien ne se passa. Nous étions perdus, seuls dans cette pièce dont il était impossible de sortir. Nous restâmes trois jours dans cet enfer. Nous mourrions de faim et de soif. Heureusement, à un moment, un homme arriva. Quand nous vîmes la porte s'ouvrir, nous courûmes à toute vitesse à l'extérieur. Trois de nous ne réussirent pas à sortir à temps...
M'interrompant dans ma lecture, Tulun se leva.
Alors? Quoi de neuf sur le trésor?
Juste que l'on a bien fait de ne pas s'y précipiter! La porte ne peux pas s'ouvrir de l'intérieur. Tu vas donc rester devant et quand je frapperais trois coups, tu prononcera la formule ok?
Tulun acquiesça par un hochement de tête puis il partit cueillir des baies en attendant que Bjorn se réveille. Il revint plus tard et nous mangeâmes tous trois les baies ramassées. Une fois notre petit-déjeuner pris, nous nous dirigeâmes vers la statue, Tulun prononça la formule adéquate et j'entrai, suivi du colosse. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'y vis le veux révolutionnaire qui dès notre entrée fonça vers la porte de pierre... Qui se referma devant lui.Puis, sans expliquer quoi que ce soit, il sauta sur nous, nous menaçant de ses griffes acérées. Je réussis à le détourner de sa cible à l'aide de mes fils mais Bjorn reçut malgré tout un violent coup de griffe à la poitrine. Sans me poser de questions, je pris son contrôle avec mes fils invisibles et le balança dans la flaque de boue. Bjorn prit alors vite le coffre qui trônait au centre de la pièce, frappa trois coups contre la porte de pierre et sortit de ce cachot. Lorsque nous sortîmes de la cité de pierre, nous entendîmes un sifflement bruyant puis un troupeau de varan courut sur nous. Il devaient être au moins une cinquantaine. Même à nous trois nous n'aurions pas tenu.

J'attendais. Impassible. Au moindre de mes sifflements, les varans se précipiteraient vers la cité de pierre. Lorsque les pirates sortirent, c'est ce que je fis. Je sifflai, précipitant ainsi le troupeau de varans vers eux. Quand je vis que le combat s'engageait, je lançai mon boomerang sur la branche d'en face, la faisant ainsi tomber sur le champ de bataille, écrasant pas mal de varans. Ensuite, je descendis de mon arbre et commença à frapper les varans de plus belle. Une fois le combat fini, je remontai dans l'arbre, me mis debout sur ma branche et cria bien fort:
Pirates! Je viens de vous sauver la vie mais de là où je suis, je pourrais très bien vous l'ôter. Prenez moi dans votre équipage! J'en ai marre de cette ile pourrie! Je veux vivre l'aventure moi!

Nous n'avancions pas très vite dans cette forêt épaisse, et le soleil se couché. Moi je voyais très bien dans la nuit, mais pas le reste de l'équipe. Vivi réussi à faire un feu de camp. Jesson lança tout d'un coup un couteau. Croyant que il tirai sur une personne, je sortit ma dague. En faites il avait vue une sorte de pigeon géant qu'il avait tué. Il pesait au moins 6 kilos. Puis nous mangeâmes autour du feu. Le repas était garni mais pas très appétissant. Le drôle de pigeon pouvait passait, mes les varans grillées eu ne passé pas très bien . En attendent de digéré, nous parlions de choses et autres.
-Marc : Pourquoi nous a t-on donné une mission si importante ?
-Horan : Aucune idée, car notre équipage n'est pas dans les meilleurs, même si nous sommes assez forts. De toute façon, l'échec n'est pas envisageable.
Puis je lu quelques lignes. Il y avait une illustration. C'était une dague au manche d'or, à la lame d'argent, ou on voyait un morceau de granit marin fin comme une aiguille. Il disait quelle était meurtrière a cause du dessin de la lame, et de son subtile morceau de granit marin, trouvé exactement sous cette forme, au bord d'une île. Avec ça, les Logias n'échappais pas à la dague, mes malheureusement, il y en avait trop peu pour lui faire perdre ses forces. Je ne sais pas pourquoi, mais j'eus une étrange sensation en voyant cette dague.

Alors que nous combattions, une grosse branche tomba sur les varans puis, le jeune homme que nous avions rencontré à notre arrivée rentra dans la mêlée. Une fois les varans morts, il remonta sur sa branche et se mit à crier:
Pirates! Je viens de vous sauver la vie mais de là où je suis, je pourrais très bien vous l'ôter. Prenez moi dans votre équipage! J'en ai marre de cette ile pourrie! Je veux vivre l'aventure moi!
Tu as du cran petit. J'apprécie. J'accepte donc de te prendre dans mon équipage. Rejoins nous à notre bateau. Nous partons demain à l'aube quoi qu'il arrive. A toi de voir.
Puis nous nous dirigeâmes vers notre bateau. Laissant Ilian derrière nous.

Tu as du cran petit. J'apprécie. J'accepte donc de te prendre dans mon équipage. Rejoins nous à notre bateau. Nous partons demain à l'aube quoi qu'il arrive. A toi de voir.
Ils m'avaient enfin accepté dans leur équipage! Mais n'était-ce pas un piège? Ou alors, n'avait-il pas dit ça pour que je les laisse en vie? Les possibilités étaient multiples. Je n'avais pas envie de me faire tuer mais j'avais encore moins envie de rester sur cette ile, loin de tout. En fin d'après-midi, après de longues heures de réflexion à ce sujet, je me décidai enfin à les rejoindre. J'allais donc au bateau. Je n'y trouvai personne. Je les attendit donc dans la cabine de navigation, en lisant les carnets de bord de l'amiral Trewloney. C'est dans cette cabine que je dormis. Je n'en fut délogé que le lendemain, lorsque le bateau avait levé les voiles et que Chiam venait reprendre sa place au milieu des étagères de livres. Bon, si il y avait eut un piège je pense que je serais déjà mort. Cela voudrait donc dire que ces pirates sont de confiance. Histoire des faire connaissance avec mes nouveaux compagnons de route, je descendis dans les cuisines pour aider Tulun a cuisiner le repas du midi.

Ce fut le lendemain matin que, me rendant dans la cabine de navigation, je trouvai Ilian endormi par terre. Donc finalement il a choisi de se joindre à nous. C'est une bonne chose. Je suis sur qu'il nous sera très utile. En attendant, il n'a rien à faire ici. Je le réveillai donc à grands coups de pieds et le sortit de la cabine de navigation. Le coffre était à côté de ma chaise, toujours fermé. Ne voulant pas faire durer le suspens plus longtemps, j'essayai d'ouvrir le coffre mais me rendit compte que je n'avais pas les clés ni quoi que ce soit pour l'ouvrir. Il faudrait donc comme prévu attendre ce soir pour que Tulun l'ouvre en compagnie de tout l'équipage. En attendant, j'étudiais les cartes laissées par l'amiral Trewloney. Je me demande comment la marine réagira quand elle sera au courant que j'ai piqué le bateau de Trewloney...

Le soir venu, après un repas bien fourni et bien arrosé, nous devions ouvrir le coffre pour enfin découvrir son contenu. Tulun prit donc derechef un des nombreux couteaux qui pendaient à sa ceinture et ouvrit le coffre devant les yeux émerveillés des autres membres de l'équipage. Alors que nous nous attendions à y trouver de l'or par kilotonnes, le coffre était seulement rempli d'épices de toutes sortes. Les odeurs qui en émanaient étaient merveilleuses mais, sous l'effet du la bière et la déception de ne pas avoir trouver d'or, le capitaine balança le coffre par dessus-bord. Comme s'il était doté d'un instinct du survie, le coffre se referma avant de tomber à la mer. Tulun qui trouvait effroyable de jeter tout ces épices si rares, si chers et si bons, sauta à l'eau pour essayer de récupérer son contenu, oubliant sa vulnérabilité à l'eau due au fruit du démon. Quand je me rendis enfin compte qu'il était en train de se noyer, je lui jetais une corde sous l'œil ébêté de Bjorn. Quand je cherchai Chiam du regard, il était déjà repartit vers sa cabine. La bière, quel calvers! Tulun n'avait plus assez de force pour attraper la corde. Il perdait toutes ses forces mais voulait malgré tout récupérer le coffre. Son affaiblissement ajouté à tout le rhum qu'il venait de boire n'était visiblement pas un bon mélange. Il usait ses dernières forces à chanter tellement fort et mal qu'il en aurait fait fuir un troupeau d'éléphant sourd. Voyant que la corde ne suffirait pas, je sautai à l'eau. Heureusement pour moi, la température de la mer me convenait.Je soutenais Tulun tout en devant supporter son chant et son haleine. Je pouvais l'empêcher de se noyer pendant un moment mais je ne pouvais pas le faire revenir sur le bateau. Chaque seconde qui passait, m'affaiblissait. Tulun perdait de plus en plus ses forces et m'obligeait donc à porter peu à peu un plus gros poids.
Björn! Au lieu de me lorgner avec ton regard de hareng frit, tire la corde! Vite, je ne tiendrais pas longtemps!
Lorsqu'il tira dessus, ce fut avec force et je ne pus pas la tenir jusqu'au pont du bateau. Je retombais donc à la mer avec un choc contre la coque du bateau en prime. Je jetai un regard désespéré en direction du pont du bateau mais Björn semblait ne plus être là. Je n'avais plus aucune chance. Le bateau continuait à avancer et je n'aurais pas eus la force de la suivre plus longtemps. N'ayant alors plus rien d'autre à faire que d'attendre la mort, je m'amusai à attraper des barracudas lorsque soudain me vint une idée. J'attachai l'un des poissons à mon boomerang puis la lançai en direction de l'ombre du coffre que je distinguais avec difficulté au fond de l'eau. Par chance, tout s'était passé comme prévu et le barracuda s'était logé dans le coffre qui remontait alors vers la surface. J'allongeai Tulun sur le coffre qui flottait, espérant qu'il reprendrait vite des forces pour pouvoir nous ramener au bateau. J'avais nagé durant longtemps lorsque Tulun, d'une voix fébrile recommença à chantonner. Je repris alors espoir et l'espoir me redonnait des forces. Dès lors, lorsque je nageais, c'était avec énergie et espoir.au bout de quelques minutes, Tulun fit alors pousser ses cheveux , nous attrapant moi et le coffre et nous posant sur le pont. Une fois là haut, je remarquai qu'il était toujours à l'eau.
Mais que fais-tu imbécile? Remonte toi aussi, vite!
Je... N'avais pas....Assez de.... forces pour..... nous tr....
Puis il perdit connaissance et s'allongea sur l'eau. Il serait mort, il n'en serait pas paru autrement. Alarmé, j'allais prévenir le capitaine. Lorsque j'entrai dans sa cabine, il dormais. Allongé par terre. Son ronflement ressemblait plus à un grognement de lion qu'à autre chose. Comprenant alors que je ne pouvais pas compter sur lui, je courus à toutes jambes vers la cabine de sauvetage, dans la cale du bateau. Il y avait bien des bouées mais, dans son état elles n'auraient servit à rien. Tulun n'était pas assez en forme pour s'y agripper et, la flottaison n'était pas le problème. Alors que je commençai à perdre mon sang-froid, je vis dans un coin, un vieux filet de pêche. Un filet de pêche! Génial je vais pouvoir le repêcher comme ça! Je courus en direction du pont, mon filet à la main. Une fois notre compagnon dans le filet, je tirai de toutes mes forces, et réussi à le remonter. Tulun était alors sur le pont, inerte, entouré des mailles du filet. Sa respiration était faible mais il respirait. Pris de fatigue, je m'allongeai sur le pont et y commençai à dormir.

Le jour se leva enfin. Nous reprenions nos bagages sur le dos et nous nous repartîmes. Tout en marchant, je lisais le journal. Les rumeurs qui circulaient n'était pas rassurantes. Puis nous arrivâmes devant une cité de pierre sans doute vielle de plusieurs siècles. Les herbes folles avaient envahi les murs. Nous rentrâmes donc à l'intérieur. Je me mis devant une statue, qui représentait un homme de taille moyenne, avec un longue barbe. Puis je prononçai ces mots : "Besar master, membimbing kita kepada masyarakat". Puis le sol s'ouvrit. Je rentra donc dans ce souterrain. Les autres étaient restés a l'extérieur. La trappe se referma alors brusquement. Il y avait un large trou dans la terre. Le trésor était parti. Puis j'allai au fond de la pièce, poussa un vieux rocher, et ouvrit la trappe en bois en prononcent les même mots. Ils y eu un léger bruit métallique. Je me transforma en mi-homme mi-tigre pour soulevait la trappe. Celle-ci pesait bien 100 kilos. Au fond ce trouvé un coffre. Je composa le code 145 826 357 puis le coffre s'ouvrait . Dedans il y avait un deuxième coffre. Je l'ouvrit à l'aide de ma dague en perforant le cadenas.
-Horan: C'est bon !
La porte s'ouvrit. Tout le monde était la ravi. Nous repartîmes au bateau, tout le monde se demandé ce qui y avait dans cette boîte.

Le soir venu, quand nous avions enfin fini la longue marche jusqu'à notre bateau, tous le monde se rassembla autour de moi, est avec laide de ma dague est beau coup d'acharnement, (l'envi de l'envoyer par dessus bord m'avais rendu de mauvaise humeur.) Je réussi a l'ouvrir. C'était exactement six couteaux. Ils avaient chacun, un anneau au bout du manche.
-Jesson: Ces couteaux sont splendides. Les lames permettent une bonne visée, avec un minimum de résistance à l'air, et l'anneau au bout du manche permet d'utiliser une technique de lancer incroyable.Il fit tourner sur un dois un des couteaux, et le lança à très grande vitesse. La cible artisanal en bois de six ou huit centimètres avait était transpercée. La pointe réapparais de l'autre coté de la cible. Nous avions fini notre mission avec brio. C'est alors que j'appelai l'amiral en chef Trewloney.
-Trewloney : Amiral en chef Trewloney, j'écoute.
-Horan : J'ai réussi la mission. Le trésor est certes parti, mais le principal est entre mes mains. Ce sont des couteaux, et d'après Jesson, ils sont d'une rareté impressionnante.
-Trewloney: Je sais bien. Ces couteaux vous appartiennent, vous en aurez besoin. A la marine, c'est très agité. Je ne peux pas vous en dire plus.
Puis plus rien. Nous devions mettre le cap sur Water Seven. Avec ma promotion, je pouvais faire restaurer et améliorer mon navire. Pendant toute la route je me remémorais les paroles de l'amiral en chef Trewloney. Quand tout a coup je sentis quelque chose bouger dans ma poche.

Alors que Revaliu s'ennuyait dans ma prison de pierre, une chance inespérée s'était offerte à lui, le lieutenant qui avait mené l'assaut à Alabasta était là, il venait d'entrer. Cette fois, je vais être malin. Je ne vais pas me jeter dans la mêlée. Il prit donc sa forme de Gecko et se glissa dans la poche de l'officier de marine. Une chance pour moi qui ai décidé de me rallier à une cause plus juste. Oui, une cause plus juste. Car Revaliu durant son enfermement, avait beaucoup réfléchi et s'était dis que finalement, la marine n'était pas des ennemis. Qu'ils n'y étaient pour rien dans les agissements du gouvernement et qu'ils n'essayaient que de faire régner la paix. Un de ses rêves de gosse était alors revenu au galop. Désormais, il voulait être dans la marine. Purger ses peines et devenir un fier soldat qui se bat pour le bien de l'humanité. Ne pensant plus à tout ça et étant persuadé qu'il n'en aurait plus pour longtemps à rester dans cette prison, il s'endormit dans la poche du lieutenant. Quand il se réveilla, il se remit à bouger et, sentant les vibrations du bateau, sortit de la poche du lieutenant pour atterrir sur le pont, reprit sa forme humaine et débita son long discours d'une seule traite:
Je vous en supplie lieutenant, ne me refermez pas dans une prison crasseuse avec des plus cons que moi. Moi je veux être un soldat de la marine. Si je deviens soldat, cela purgera mes peines et je pourrais même vous parler des agissements du congrès révolutionnaire. Je vous en supplie, laisser moi réaliser un des mes rêves d'enfant. Naviguer pour faire régner la justice.

Je sentis quelque chose bouger. Puis un énorme lézard sortit de ma poche. Eric pointa son fusil dessus. Puis il se transforma en humain. Je le reconnaissais. Revaliu Cyjny. Le révolutionnaire qui m'avait menacé à alabasta.
-Revaliu Cyjny : Je vous en supplie lieutenant, ne me refermez pas dans une prison crasseuse avec des plus cons que moi. Moi je veux être un soldat de la marine. Si je deviens soldat, cela purgera mes peines et je pourrais même vous parler des agissements du congrès révolutionnaire. Je vous en supplie, laisser moi réaliser un des mes rêves d'enfant. Naviguer pour faire régner la justice.
-Horan: Colonel je vous prie ! C'est un peu léger. Mais je vais y réfléchir. Je ne crois pas le premier venu.
Eric était tombé dans les pommes. Salvar rugissait prêt à bondir. Je ne savais pas vraiment. Aller dans ma poche et surgir au milieu de mon équipage pouvait faire une preuve que ce vielle homme était fort désespéré. En même temps cette homme était fort malin. Une intuition me disais de le faire confiance. Puis les pigeons messagers de la marine express, P,M,M,E, se posaient sur le rebord. Ils se battaient. Pendant que mes hommes parlait un peu avec le nouveau venu, je lu les deux messages. L'un venait de CP9. Ils me disaient de donner les couteaux et de mettre le cap sur Jaya pour arrêter les bérets blancs, organisation illégalle. L'autre venait de Trewloney. Il disait de le rejoindre d'urgence. Puis Revaliu Cyjny me dit des propos alarmants sur une infiltration dans la marine.

Après toute une nuit passé dans la cabine de navigation, en descendant sur le pont, je découvris Tulun allongé sur le coffre que je croyais avoir jeté à la mer et Ilian lui, était dans les escaliers, dans une position assez bizarre mais il dormait lui aussi. Que s'est-il passé ici? Énervé de voir que ce coffre chargé d'épices était encore sur le pont, je voulus le prendre et le remettre à l'eau mais cela réveilla Tulun qui sauta sur moi, m'empêchant de jeter le coffre.
Pourquoi tant d'histoires pour ça? Ce ne sont que des épices qui ne serviront à rien. Génial le trésor d'Ernesto hein. Génial. Tulun,laisse moi jeter ça à la mer. Il me nargue. Nous avons parcouru tout ce chemin pour ça!
Et alors? Ces épices valent une fortune. Au marché ça coute à peu près mille Berry les dix grammes. Être resté depuis longtemps enfermés dans ce coffre les a visiblement fait gagner en saveur. Tu n'imagine pas tout les bons petit plats que je pourrais concocter avec ça!
Je m'en tamponne l'oreille avec une babouche de tes petits plats. Nous allons les revendre. Il y a à peu près trente kilos là dedans. De quoi se faire un paquet d'argent.
Je t'interdis de les vendre!
Et pourquoi ça? C'est moi qui décide. Je suis le capitaine de cet équipage à ce que je sache.
Je m'en repartis ensuite vers ma cabine de navigation pour déterminer notre prochaine direction. Une fois assis sur ma chaise, j'entendis un escargophone sonner. Un escargophone? Je n'ai pas d'escargophone moi ! D'où peut-il bien venir.... Mais oui! Ce bateau appartenait à un Amiral! Alors, je décroche ou pas? Il s'arrêta alors de sonner. Je ne saurais jamais de qui provenait cet appel. Cela peut quand même être très intéressant d'avoir un tel appareil. Je partis alors dans le laboratoire pour y prendre une herbe d'oubli qui me permettrait de m'approprier cet escargophone. Une fois en sa possession, je remontais dans la cabine et fit manger l'herbe au gastéropode. J'appelai ensuite la marine d'un appel anonyme pour leur dire que j'avais vu le bateau de Trewloney dans les environs de Fushia Town. Comme ça a moins, ils ne me retrouveront pas.

Lorsque je me réveillai le lendemain, le coffre n'était plus là. Tulun non plus. Ne sachant pas où nous irions ensuite, j'aillai dans la cabine de navigation pour le demander à Chiam. Lorsque j'entrais, il buvait un thé tout en lisant un livre et ne m'accorda pas la moindre attention.
Bonjour capitaine Hans. Je me demandais où-est ce que l'on va maintenant? Si vous n'avez aucune destination de prévue, j'aimerais bien passer à Luvneel. J'ai quelques comptes à régler avec mes abrutis de parents...

J'étais dans la cabine, je buvais mon thé lorsque Ilian entra. Ne m'occupant pas tellement de lui, je continuai à lire le journal. Quand j'eus finis l'article, je le regardai puis, d'un air interrogatif, il commença à me parler.
Bonjour capitaine Hans. Je me demandais où-est ce que l'on va maintenant? Si vous n'avez aucune destination de prévue, j'aimerais bien passer à Luvneel. J'ai quelques comptes à régler avec mes abrutis de parents...
Capitaine Hans? Pas la peine de m'appeler comme ça, on est pas à la marine. Quand à ta question, étant donné que je ne savais pas où aller ensuite, c'est d'accord. Va prévenir Bjorn qu'il doit mettre le cap vers le nord.
Il acquiesça d'un signe de la tête puis sortit.