L'amiral Trewloney était parti pour Impel Down. Moi, je n'y allais pas. Seuls les plus puissants et leur équipage y allaient. Avec bon nombre de personnes, nous mettions le cap sur Whiskey Peak. Les nouvelles prisons venaient d'être finies. Nous avions achetés assez de vivres pour au moins un mois. Nous avions profité de l'escale à Water Seven pour acheter de la voilure, faire une ou deux petites réparations, et renforcer la coque. Tout le monde était sur ses gardes. Salvar qui avait bien grandit, restait à côté de moi. Revaliu se reposait dans la cabine. Je le connaissais depuis deux semaines, mais je lui faisais pleinement confiance. Tom, qui l'appréciais pour son expérience, voulait lui faire une surprise, en lui fabriquant quelques rumbles-balls. Les frères Duroi s'entraînait au sabre. Vivi nous préparais un pique-nique. Les autres jouaient au cartes, parlaient, tout ça pour décompresser un peu.
Jesson était avec moi. Il essayait de me rassurer sur l'avenir. Puis Jeans Kellen s'approcha.
-Jeans : Passe moi ta dague, je crois avoir vu un truc !
Il tenait le livre les trésor de la grande guerre, et semblait fou de joie. Il prit l'un des couteaux de Jesson sans prévenir, découpa les vielles bandelettes du manche, et gratta la lame pour enlever le sang séché et la crasse. Il prit mon doigt et il le mit sur la lame à un endroit précis. Je sentis, que mon doigt faiblissait peu à peu, comme si je venais de me réveiller, sauf que il n'y avait que mon doigt qui le sentait.
-Jeans: Cette dague et l'un des trésors de la grande guerre. Regarde son manche en or et sa lame d'argent ! C'est comme dans le livre!Je le voyai. J'essayai immédiatement de la nettoyer. C'est le subtile morceau de granit marin que j'avais senti sur mon doigt.
Nous allions accoster quand je reçu un message à l'escargophone du meneur, le colonel Gligrof.
-Colonel Gligrof : Avant d'accoster, la totalité des personnes ici présentent irons dans la prison pour libérer les innocents et reprendre le contrôle. Mais le colonel Horan FIRT, sera pas avec nous ou plutôt de l'autre côté de l'île en patrouille. L'amiral en chef Trewloney ma informer qu'ils étaient à deux heures de leur objectif.Avec ma chance de ***** sa devait arrivé. Quelques minutes plus tard nous quittâmes la flotte pour passer par derrière. Puis par escargophone, des dizaines de messages nous demandés pourquoi cette attroupement et de faire immédiatement demi-tour. Heureusement qu'ils n'avaient pas fait attention à nous car les coups de canons venaient de retentirent.
Un bateau Pirate avait rebroussé chemin.
Nous devions établir des équipes. Tout le monde était par deux, et reliés en permanences par escargophones. Moi j'étais avec Jesson, Salvar et Revaliu. Malgrès que je lui faisais confiance, Je préférais laissé un oeil sur lui. Quelques minutes plus tard les frères Duroi nous informèrent qu'ils combattait face à deux personne et qui contrôlaient la situation.
Frère Duroi:
-Fab: Tient bon, j'arrive.-Tristant: Cool.En un tour de main, Fab désarma son adversaire. Tristant réussi à partir de son combat. Puis a pleine vitesses il attaquèrent ensemble l'ennemi seul et dépourvu. Ils fonçaient droits, Puis Tristan partit par côté et tout les deux mirent un grand coup de sabre dans le traître. Le deuxième avait pris ses jambes à son coup un peu trop tard, et se fit rattrapé par les deux frères. En un ou deux mouvement, ils l'éliminèrent.
Marc avait voulu faire équipe avec Tom. Ils lancèrent un appelle à l'aide. Six hommes leur barré la route. Delligue et Jeans partirent à leur rescousse. Nous étions trop loin pour aller les aidés.
Marc et Tom au combat.
Tom pointait son fusil sur ce qui semblait être leur supérieur. Marc tenait sa hache à deux mains. Tout d'un coup un coup de fusil se fit ressentir. Delligue avait tué deux hommes à la foi. Tom appuya précipitamment sur la gâchette et leur supérieur s'écroula. Ils n'étaient plus que trois terrorisés. Jeans se précipita sur un grand gaillard mes se reçu un coup dans le nez et s'écroula. Marc se lança a toute vitesse, et donnait de grand coup de hache un peu partout. Tom en profita pour récupérer Delligue. Quelques minutes plus tard ils nous informèrent que Jeans avait repris connaissance et qu'ils c'étaient chargés des survivants.
Moi Jesson, Salvar et Revaliu continuions notre route quand nous tombèrent face à l'amiral Pignouf en personne assit sur des tonneaux.
-Pignouf : On m'a prévenu de votre arrivée, Colonel. Ce n'est pas bien de ce rebeller, HAHAHAHA !!! -Revaliu : Parce que vous croyez que se comporter en dictateur et censurer tous les ouvrages gênants c'est bien? Vous croyez que combattre d'autres membres de la marine pendant que les pirates dévastent tout c'est bien? Vous croyez que n'être intéressé par l'argent est un bonne chose? Vous êtes censé combattre les pirates mais au lieu de cela, vous les imitez. Je crois même que vous êtes pire qu'eux. Car les pirates, pour la plupart, ne sont pas aussi hypocrites que vous vous. Vous êtes un lâche, une pourriture, une...Sans plus attendre, Jesson avait lancé un couteau en pleine tête, sur l'amiral. Mais le couteau se figea dans le mur derrière, et l'amiral s'était transformé en une flaque d'eau verdâtre. Puis, je ne sais comment, il avait surgit derrière moi et m'avait donné un coup dans le dos qui me fit décoller du sol. Revaliu lui avait planté ses griffes dans la tête, mais il s'était encore transformé en flaque.
-Pignouf : Pourquoi est-ce que tu me regarde comme ça Colonel fiotte? J'ai un bouton sur le nez? HAHAHAHA Tu aura tout le temps de l'admirer, mais dans les geôles de Marinford. Lorsque Trewloney sera crevé et que je prendrais sa place. HAHAHAHA-Pignouf : J'ai le pouvoir de liquéfaction. Je peux me transformer en liquide comme je veux. Vos coups ne me chatouillent même pas. C'est alors qu'il poussa un cri aigu. Salvar le mordait au pied. Puis d'un geste son pied devint eau et il propulsa Salvar dans les airs. Je ne réussis à le rattraper que de justesse.
-Horan : Vas vite prévenir les autres que nous avons un gros problème Salvar.Je savais qu'il me comprenait. Puis il courut dans la direction opposée de l'amiral. Maintenant, je savais comment l'avoir. Je fit un signe à Jesson, qui me fit savoir qu'il n'était pas complètement aveugle. Pendant se court instant Revaliu avait disparu. Mais je n'avais pas le temps de m'en occupait. Jesson avait fait un vrai labyrinthe de miroirs mais l'amiral les avait détruits en quelques fractions de secondes. Je venais d'avaler ma rumble-ball, quand l'amiral venait de se prendre un énorme sac de terre. Sans me poser de questions je lui donna une multitude de coup, jusqu'au moment ou il esquiva et me mi à terre. Revaliu en avait profité pour passer derrière lui. Il lui planta ses griffes dans le ventre. Apparemment il en fallait beaucoup plus pour l'arrêter. Il le projeta, et détacha son bras, pour donner son coup. Il pouvait donc rendre liquide son corps comme il le voulait.